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dimanche 11 novembre 2007

ALGER LA BIEN GARDÉE


Trois expéditions avec bonbardement de la ville en un demi-siècle.
Les rois de France et ceux d'Angleterre, les Tsars de Russie, les Princes d'Italie, les papes, les moines guerriers de Malte n'eurent d'autres soucis que de raser l'état barbaresque "Alger, la ville au mille canons", faisaient reculer les plus opinatres. Sa force "émanait du génie de ses enfants. Elle résidait en premier sur son artillerie. Du rôle joué par cette arme, durant plus de trois cents ans, naquit la célébrité d'El Djazaïr et sa légende. Et depuis cette date, les canons font partie intégrante de son histoire.

Suite les Raïs ...Les remparts d'Alger ont été construits en 1540 par le Pacha Hassan, et développaient une ligne de 750 m du coté de Bab Azzoun et de 900m sur le flanc de Bab El Oued.
Cette ceinture présentait la forme d'un triangle au sommet duquel tronait la citadelle de la Casbah dont l'édification avait commencé en 1516 sur le site d'un ancien palais. Parmi les ouvrages extérieurs de défense, les plus importants étaient certainement le fort de l'Empereur. Construit sur l'emplacement du campement de Charles Quint sur une coline qui dominait toute la ville. Le Bordj Euldj Ali qui surveillait la plage de Bab El Oued tandis qu'à l'Est Bordj Tamenfoust barrait l'entrée de la baie d'Alger à tout bateau venant de l'Est.
On y entrait dans la ville par cinq portes qui étaient fermées dès la tombée de la nuit.

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